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Le conseil municipal de Créteil a voté à l'unanimité une motion demandant à évaluer l'utilité de deux pistes cyclables sanitaires. Les associations de cyclistes s'étonnent.
Le plan de soutien à l'industrie automobile, annoncé par le président de la République, semble avoir satisfait les acteurs du secteur.
Ce lundi soir, le conseil municipal a voté à l’unanimité une motion, s’interrogeant sur l’utilité des deux coronapistes provisoires aménagée
Aide financière de 50 euros de la part de l'Etat pour réparer son vélo, création de nouvelles pistes cyclable à Toulouse... Les professionnels de la bicyclette et leurs clients racontent pourquoi il y a un engouement pour ce deux roues depuis le déconfinement.
Curieuse atmosphère en région parisienne. Sous un soleil estival qui semble ne jamais vouloir décliner, les rues s’animent, les bureaux rouvrent progressivement, les vitrines se font plus belles, cerises, abricots, courgettes aguichent le passant sur les étals.
Porté par l'association Germinale et la mairie de Meaux, le service de location de vélos monte en puissance depuis la fin du confinement. Une alternative au bus pour aller travailler, en pleine épidémie de Covid-19.
Fruit d’un travail collectif de plusieurs mois, l’étude « Impact économique et potentiel de développement des usages du vélo en France » dresse un état des lieux des différents usages du vélo en France, y compris les usages professionnels et de leurs trajectoires d’évolution à 5 ou 10 ans.
Ces dix dernières années, la pratique du vélo dans ses dimensions urbaines, touristiques, sportives ou de loisirs a fortement évolué, portée à la fois par les évolutions sociétales, les importants efforts d'investissement des collectivités et la diffusion du vélo à assistance électrique (VAE). De plus, dans le contexte actuel de crise sanitaire et de reprise progressive de l'activité, les modes de déplacements sont au coeur des interrogations, notamment dans les grandes métropoles où le vélo est une des alternatives pour favoriser un déconfinement durable.
L'étude « Impact économique et potentiel de développement des usages du vélo en France », réalisée par les cabinets Inddigo et Vertigo Lab à la demande de la Direction Générale des Entreprises, la Direction Générale des Infrastructures, des Transports et de la Mer, l'Agence de la Transition Ecologique (ADEME) et la Fédération Française de Cyclisme, dresse un état des lieux des différents usages du vélo en France, y compris les usages professionnels et de leurs trajectoires d'évolution à 5 ou 10 ans.
Elle en mesure les effets économiques et analyse les bonnes pratiques internationales en matière de politique « vélo » afin d'éclairer les décideurs publics et privés dans leurs projets de développement des mobilités cyclables, mais également les industriels du cycle, ceux du sport et les professionnels du tourisme désireux de tirer le meilleur bénéfice du retour à la pratique du vélo.
En l'état actuel des pratiques, les retombées économiques directes des usages du vélo sont estimées à 9,6 milliards d'euros par an et à près de 80 000 emplois.
En tenant compte des activités induites et des bénéfices en matière de santé, les retombées socioéconomiques du vélo pèsent aujourd'hui pour 29,5 milliards d'euros pour une part modale d'à peine 3%. L'atteinte de l'objectif du Plan Mobilités Actives, soit 9% de part modale du vélo dans les déplacements du quotidien permettrait de doubler ces retombées. A l'horizon 2030, une part modale ambitieuse de 24% représenterait plus de 130 milliards d'euros de retombées socioéconomiques.
L'étude « Impact économique et potentiel de développement des usages du vélo en France », réalisée par les cabinets Inddigo et Vertigo Lab à la demande de la Direction Générale des Entreprises, la Direction Générale des Infrastructures, des Transports et de la Mer, l'Agence de la Transition Ecologique (ADEME) et la Fédération Française de Cyclisme, dresse un état des lieux des différents usages du vélo en France, y compris les usages professionnels et de leurs trajectoires d'évolution à 5 ou 10 ans.
Elle en mesure les effets économiques et analyse les bonnes pratiques internationales en matière de politique « vélo » afin d'éclairer les décideurs publics et privés dans leurs projets de développement des mobilités cyclables, mais également les industriels du cycle, ceux du sport et les professionnels du tourisme désireux de tirer le meilleur bénéfice du retour à la pratique du vélo.
En l'état actuel des pratiques, les retombées économiques directes des usages du vélo sont estimées à 9,6 milliards d'euros par an et à près de 80 000 emplois.
En tenant compte des activités induites et des bénéfices en matière de santé, les retombées socioéconomiques du vélo pèsent aujourd'hui pour 29,5 milliards d'euros pour une part modale d'à peine 3%. L'atteinte de l'objectif du Plan Mobilités Actives, soit 9% de part modale du vélo dans les déplacements du quotidien permettrait de doubler ces retombées. A l'horizon 2030, une part modale ambitieuse de 24% représenterait plus de 130 milliards d'euros de retombées socioéconomiques.
Après avoir ouvert trois premières pistes cyclables provisoires le 11 mai le long de la ligne 1 du métro, du RER A, de la ligne 7 du métro et du tram et des bus TVM et 393, le Conseil départemental du Val-de-Marne annonce deux nouvelles pistes.
Trois nouvelles pistes cyclables, prévues de façon temporaire dans un premier temps, sont en passe d'être aménagées, en mai et de juin 2020 à Caen et Hérouville (Calvados).
Début mai, en vue du déconfinement, 13 km de voies cyclables provisoires sont annoncés. Un effort aussi inespéré qu'improvisé, très vite revu à la baisse au grand dam des partisans du vélo.
Une étude modélise pour la première fois les bénéfices économiques du vélo en France, en termes de santé, de climat, de tourisme. Mais la France part avec des handicaps : un énorme retard et une pratique en déclin chez les jeunes et les vieux.
Ce n'est pas seulement un effet d'optique, ni l'illusion de celles et ceux qui rêvaient d'un déconfinement à deux roues (avec des pédales), le vélo semble être le grand gagnant des moyens de transports depuis le 11 mai dernier. Et si tout était réuni pour faire de la France le nouveau pays du vélo ?
La trentaine de réparateurs de vélos agrées sur le Calvados pour l'opération "Coup de Pouce Vélo" croulent sous la demande. Selon le décompte effectué par France Bleu, entre les réparations déjà effectuées et les devis actés, plus de 1620 clients les ont sollicités, attirés par l'aide de 50 euros.
Avec le déconfinement, toutes les villes veulent changer de braquet pour laisser plus de place aux vélos. Deux adeptes ont mis en ligne un guide gratuit pour les débutants.
Les magasins de bicyclettes pris d'assaut dans la Ville rose. Les collectivités développent dans l'urgence des pistes cyclables.
L'entreprise d'électroménager va se diversifier en fabriquant des vélos électriques haut de gamme.,
Le géant français du petit électroménager Seb va fabriquer en France, à partir de l'été, un vélo électrique
Le géant français du petit électroménager Seb va fabriquer en France, à partir de l'été, un vélo électrique
Depuis le déconfinement, les files d'attente ont explosé devant les boutiques de vélo. Le gouvernement a de son côté mis en place une prime de 50 euros pour faire réparer sa vieille bicyclette. Mais pour l'économiste des transports Frédéric Héran, cela ne veut pas dire qu'il y aura un boom du vélo.
Avec le déconfinement, le gouvernement souhaite encourager la pratique du vélo. L'opération "Coup de pouce vélo" propose notamment la prise en charge de 50 € pour réparer son vélo et des cours en vélo-école pour réapprendre à circuler à bicyclette.
Tous les jours, France Bleu Paris s'intéresse à un secteur qui a souffert pendant le confinement et qui rebondit aujourd'hui. Ce vendredi, le retour des trottinettes et vélos en libre-service dans les rues de la capitale.