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L’usage du vélo ne cesse de se développer en région parisienne et avec lui le nombre de vols. Face à ce phénomène, les copropriétés sont nombreuses à vouloir se doter d’équipements pour protéger ces bicyclettes de plus en plus onéreuses. Tour d’horizon des différentes solutions et de leur financement.
Économiser le temps de parking, c’est l’une des promesses du vélo par rapport à l’automobile, à condition de ne pas galérer à trouver un élément de mobilier urbain auquel accrocher son deux-roues. Exemple à Vincennes où Ile-de-France Mobilités annonce des centaines de nouvelles places, parmi les 1800 en cours de création ou réhabilitation.
Pour mesurer ce qu’est un pays 100 % cyclable, direction la Hollande, où la moitié des trajets en train débutent sur une bicyclette et où d’immenses complexes de stationnement sont proposés aux cyclistes. Reportage à Amsterdam et à La Haye.
Une cinquantaine de cadenas sécurisés, auxquels il est possible d’accrocher son deux-roues, vient d’être installée dans la commune par la société Sharelock. La ville est la première du Val-de-Marne à proposer ce service payant, qui se veut plus rassurant pour les usagers.
Île-de-France Mobilités (IDFM) vote ce mardi un plan pour équiper 12 stations de métro et gares RER en parkings pour vélos sécurisés. Un premier pas vers l’objectif des 140 000 emplacements prévus en 2030.
Avec le boom des ventes de bicyclettes, de nombreux cyclistes sont en quête de stationnement sécurisé et protégé. Face à cette demande, les opérateurs de parkings souterrains commencent à réaménager leurs espaces. En 2022, plusieurs centaines de places doivent voir le jour dans le Grand Paris.
Alors que ce mode de déplacement peut être privilégié pour se rendre dans les futures gares du Grand Paris Express, cyclistes et élus s’inquiètent du manque de places de stationnement à destination des vélos planifiées autour du supermétro.
Pas d'augmentation de PV ni de fourrière : pour lutter contre le stationnement illégal dans sa ville, le maire de Vilnius (Lituanie) a recours à l'artillerie lourde.
Un parking souterrain sécurisé de 357 places a été inauguré jeudi par la Ville de Paris à la gare Montparnasse. Ailleurs, des places de stationnement pour voiture sont converties en parking vélo.
Conformément aux promesses de campagne des municipales, la ville de Paris a l’intention de rendre payant le stationnement des motos, scooters et cyclomoteurs (les vélos à assistance électrique et les trottinettes électriques ne sont pas concernés).
Une dizaine d’associatifs et d’usagers se sont retrouvés le long de la D 120, vendredi matin, pour appeler à la sanctuarisation de la coronapiste qui traverse Vincennes jusqu’aux portes de Paris.
Augmenter les passages piétons et les stationnements vélo en supprimant des places de stationnement automobile, telle est l’expérimentation menée par le Conseil départemental du Val-de-Marne à Fontenay-sous-Bois et à Bonneuil-sur-Marne. Détails.
Le Département du Val-de-Marne, en partenariat avec les communes de Bonneuil-sur-Marne et de Fontenay-sous-Bois, étend son dispositif expérimental de sécurisation des passages piétons. 33 traversées supplémentaires ont ainsi été sécurisées et 430 places de stationnement vélo créées.
Après Ivry-sur-Seine, le Département étend son dispositif expérimental de sécurisation des passages piétons en partenariat avec les communes de Bonneuil-sur-Marne et de Fontenay-sous-Bois. Objectifs : améliorer la visibilité entre piétons et automobilistes, contribuer au partage de l’espace public pour l’ensemble des usagères et usagers, et encourager la pratique quotidienne du vélo.
33 traversées supplémentaires ont ainsi été sécurisées et 430 places de stationnement vélo créées.
33 traversées supplémentaires ont ainsi été sécurisées et 430 places de stationnement vélo créées.
Le 31 décembre dernier, plusieurs dizaines de vélos , considérés comme des épaves par les services de la ville, avaient été enlevés pour être mis à la fourrière.
Le commerce de centre-ville se porte mal. Ce phénomène a été très bien décrit par des auteurs tels que Olivier Razemon (Comment la France a tué ses villes) ou Franck Gintrand (Le jour où les zones commerciales auront dévoré nos villes). S’il ne fallait retenir qu’un seul chiffre : le taux de vacance commerciale moyen dans les centres-villes est passé de 7,2% en 2012 à 11,9% en 2018. Ce sujet sera sans nul doute au cœur des débats pour les élections municipales de mars prochain. Mais s’il y a un consensus sur les causes de ce déclin (surabondance de zones commerciales en périphérie des villes – on est passé de 500 à 2000 hypermarchés en France entre 2008 et 2018 - et croissance exponentielle du e-commerce), il n’en sera pas de même sur les remèdes à mettre en œuvre.